Votre bébé a entre 3 semaines et 6 mois de vie ou un peu plus, il pleure intensément chaque soir, à peu près à la même heure, sans raison apparente? Il est inconfortable, grimace, passe des gaz, se tortille, replis les jambes sur son ventre et semble avoir des douleurs abdominales? Les dodos sont écourtés voire inexistants? Malgré tout ce que vous essayez de faire pour le calmer (allaitement ou boire, changement de couche, bercement, etc.) rien ne fonctionne?Pourtant il semble en bonne santé et prend bien du poids. Votre bébé pourrait avoir des coliques ! Voici quelques idées pour vous aider à le soulager.
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Les Coliques, c’est quoi?
Les coliques toucheraient environ 20% des nouveau-nés qu’ils soient allaités ou non. Traditionnellement, on définit les coliques par la “règle des 3” soit plus de 3 heures de cris par jour, plus de 3 jours par semaine, pendant au moins 3 semaines, au cours des 3 premiers mois de la vie.
Les coliques se caractérisent par des pleurs intenses qui surviennent surtout en soirée. Malgré tous les efforts mis en place par les parents, bébé reste inconsolable. Il grimace, se tortille, passe des gaz, semble inconfortable.
Les coliques sont une source de stress importante en tant que parents car on se sent bien souvent dépassés par la situation, démunis, épuisés par les courtes nuits et les siestes parfois inexistantes!
Crédit photo : Photographie Julie St Georges
Quelles sont les causes des coliques?
A ce jour, la cause réelle des coliques restent encore mal connu. Plusieurs hypothèses sont évoquées par les spécialistes. Ils suggèrent que les coliques seraient un processus complexe d’adaptation au nouvel environnement de bébé.
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1- sensibilité gastro-intestinale et immaturité du système digestif ?
Il pourrait s’agir d’une sensibilité gastro-intestinale en lien avec une immaturité du système digestif. Pendant la grossesse, bébé reçoit les apports dont il a besoin via le sang qui circule à travers le cordon ombilical. On sait qu’en fin de grossesse le bébé avale du liquide amniotique et qu’il émet ses premières selles (méconium) quelques heures après sa naissance.
Néanmoins, son estomac et ses intestins ne commencent à fonctionner réellement qu’après les premiers allaitements. Le système digestif du nouveau-né est fragile, sensible et partiellement immature. Il continue à se construire progressivement, en même temps que se constitue la flore bactérienne participant à la digestion.
Les mouvements intestinaux liés au péristaltisme pourraient être inconfortable et douloureux. Le péristaltisme intestinal, résultant de la contraction des muscles lisses, conduit les aliments ingérés du pharynx jusqu’au rectum. Le brassage des aliments et l’absorption des nutriments, entièrement liés au péristaltisme, sont un travail colossale pour le système digestif du nouveau-né.
2- Les bébés allaités sont également sujet aux coliques ?
Malgré la croyance populaire, les bébés allaités sont aussi sujets à faire des coliques que les autres bébés. Néanmoins, le lait maternel fatigue moins l’organisme du bébé que le lait artificiel puisqu’il contient des enzymes permettant sa propre digestion. Le lait artificiel, lui, est dépourvu de ces enzymes. Par ailleurs le lait artificiel est trop gras et plus difficile à digérer.
L’alimentation de la mère aurait une influence sur les coliques
Le bébé peut réagir aux aliments que mange la mère, puisque certains composants passent dans le lait. Certains aliments ont tendance à provoquer des gaz et de l’inconfort, notamment tous les types de choux, les asperges, l’oignon, l’ail, le brocoli et des légumineuses. Si votre bébé est inconfortable lorsque vous en mangez, faites le test d’arrêter pendant quelques jours pour voir si cela a un impact positif.
Les boissons tel que le café, le thé, les boissons à base de coca contiennent des substances stimulantes qui pourraient passer dans votre lait et empêcher bébé de bien dormir. Évitez d’en consommer plus d’une ou deux tasses par jour durant les trois premiers mois de vie de bébé et par la suite pas plus de trois tasses par jour. Le guarana présent dans les boissons énergisantes contient deux fois plus de caféine que le café, celles-ci devraient être proscrites complètement pendant l’allaitement ainsi que la grossesse.
Un réflexe d’éjection puissant peut avoir un impact sur l’inconfort de bébé
Généralement un bébé allaité avale moins d’air qu’un bébé au biberon. Cela peut néanmoins arriver si la mère a un réflexe d’éjection très fort. Les grandes quantités d’air avalées donnent des gaz ainsi qu’une fausse impression de satiété au bébé. Il arrive même que le bébé refuse de prendre le sein et perde du poids, tellement le flot puissant de lait l’incommode pour téter.
Pour limiter un réflexe d’éjection trop fort, vous pouvez adopter la position naturelle ou l’australienne (la gravité jouant en votre faveur, le lait coulera moins fort) ou la position à califourchon (le bébé pourra se retirer plus facilement si le flux est trop fort). Si le problème persiste vous pouvez aussi exprimer 20 à 30 ml de lait juste avant de donner la tétée pour diminuer le flux.
Le lactose serait mal toléré par les bébés
Autre cause possible liée à l’allaitement : le passage rapide d’un sein à l’autre au cours d’une même tétée. Le bébé absorbe trop de lait “de début de tétée” particulièrement riche en lactose et parfois mal toléré par certains estomacs.
En début de tétée, le lait maternel est composé essentiellement d’eau et de sels minéraux pour désaltérer. Il contient aussi des glucides directement assimilables par l’organisme (oligosaccharides et lactose).
En milieu de tétée, les protéines et lipides (gras) augmentent en quantité. À la fin de chaque tétée, les lipides se concentrent de plus en plus dans le lait et donnent au bébé un sentiment de satiété. C’est le signal de fin de tétée pour le bébé. Il faut donc faire téter le bébé suffisamment longtemps à chaque sein pour qu’il prenne l’ensemble des éléments nutritifs nécessaire à son développement.
Pour éviter au bébé de prendre seulement du « lait de début de tétée », laissez-le au premier sein tant qu’il déglutit régulièrement, si besoin, comprimez ce sein pour stimuler le bébé. Ne donnez le deuxième sein que vous êtes sûre que votre bébé a encore vraiment faim.
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3- Mauvaise coordination des mouvements de la sphère orale ?
Si le bébé n’a pas une bonne coordination succion/déglutition/respiration il aura tendance à « avaler » beaucoup d’air et à boire surtout du lait de début de tétée puisque la tétée sera plus longue et laborieuse. Si vous constatez que votre bébé a une mauvaise succion, ne prend pas de poids, se fatigue au sein, refuse de téter, s’étouffe à chaque allaitement, demandez une consultation avec votre pédiatre ou une IBCLC.
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4- Intolérances à déterminer ?
Lorsque vous allaitez, les nutriments contenu dans votre alimentation sont transmis à votre bébé dans le lait. Certains nutriments ont des propriétés allergènes pouvant provoquer des intolérances. Les protéines de lait de vache (PLV) peuvent entraîner de fortes coliques et des selles diarrhéiques. Si vous avez des doutes sur une possible intolérance aux PLV, faites le test de les éliminer de votre alimentation pendant 7 à 10 jours pour voir si cela fait une différence. Si vous constatez que bébé se porte mieux, évitez le lait de vache, les yogourts et les fromages pendant quelques temps (voire parfois jusqu’au sevrage).
N’oubliez pas qu’on retrouve aussi des PLV dans le beurre, les glaces et certaines pâtisseries. Consultez une nutritionniste, elle vous indiquera comment consommer suffisamment de calcium et de vitamine D. Le calcium se trouve dans bien d’autres aliments, notamment les fruits secs, les choux, les laitues… Privilégiez les aliments complets et prenez le soleil : la vitamine D intervient dans l’absorption du calcium!
Si l’éviction des produits laitiers n’apporte pas d’amélioration, vous pouvez essayer de tester les aliments contenant du gluten. Cette molécule, très indigeste, omniprésente dans l’alimentation moderne provoque de plus en plus d’intolérance. Il est vrai que son éviction peut paraître insurmontable puisqu’on la retrouve dans de nombreuses céréales (blé, orge, avoine, seigle) quelles que soient leurs formes (pains, pâtes, gâteaux…). Il vous reste encore le riz et le maïs, le quinoa, le sarrasin, le millet… Vous trouverez de belles recettes sur le site deTrois fois par jour.
Parmi les autres allergènes possibles, on trouve les fruits de mer, les arachides, les noix, les œufs, les agrumes et le soya.
Si votre bébé est nourri au biberon, son lait n’est peut-être pas adapté à son système digestif encore immature. Essayez de changer son lait habituel pour un lait hypoallergénique plus adapté au bébé faisant des coliques. N’hésitez pas à demander conseil à votre pharmacien.
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5- Immaturité du système nerveux ?
Pour certains, les coliques seraient la manifestation de l’immaturité du système nerveux dans les premiers mois de la vie de bébé. Avant 3 mois, le système nerveux est encore immature et le bébé ressentirait très fortement les contractions de ses intestins lors de la digestion.
Les spécialistes évoquent également des hypothèses comportementales : l’environnement du bébé, le degré d’anxiété des parents et le tempérament du nourrisson. Le bébé étant encore incapable d’intégrer complètement les stimuli liés à son environnement déverserait son trop plein par des crises de pleurs interminables.
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Comment soulager un bébé qui a des coliques?
Il est avant tout important de mentionner que les parents ne sont pas en cause dans la problématique des coliques. Le fait de voir son bébé inconfortable et de ne pas trouver de solution pour le calmer peut être très difficile à vivre au quotidien. Malgré tout ce qu’on peut entendre ici et là, il n’y a pas de remède MIRACLE pour soulager le bébé des multiples symptômes. Voici des pistes de soulagements qui pourraient aider votre bébé.
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1- Avant tout, faites le tour des besoins de base de votre bébé !
Assurez-vous que votre bébé n’a ni faim, ni froid, ni chaud.
Vérifiez que la couche n’a pas besoin d’être changée.
Est-ce que bébé a fait son rot?
Bébé fait-il de la fièvre ?
Est-ce qu’il boit suffisamment ?
Est-ce qu’il fait de beaux dodos ?
2- Suggestions pour apaiser votre bébé
Pour tenter de soulager votre bébé vous pouvez essayer les idées suivantes :
Placez-le dans un environnement calme, favoriser les couleurs pastelles pour la décoration de la chambre, mettez de la musique douce;
Touchez-le tendrement, par exemple placez-le contre votre ventre en peau à peau, profitez-en pour le masser doucement dans le dos ou le caresser;
Offrez-lui le sein. Beaucoup de bébés se calment en prenant le sein: celui-ci peut aussi bien consoler que nourrir;
Placez votre bébé à plat ventre sur votre avant-bras, son dos contre votre ventre, sa tête dans le creux de votre coude et votre main entre ses jambes. C’est la position dite«anti-coliques ». Bercez-le, promenez-le dans la maison ou à l’extérieur.
Portez-le en écharpe ou promenez-le dans son carrosse (poussette pour nos amies européennes 😉 ) au pire faites un tour en voiture;
Position “anti-coliques”
Rien de mieux que la chaleur pour soulager les petits maux de ventre de votre bébé! Orange & coco propose de superbes petits sacs réconfort, parfait pour apaiser les coliques et favoriser le sommeil.
Pratique, il suffit de placer le sac au micro-onde par tranche de 30 secondes jusqu’à la température désirée.
Le secret de ce petit sac c’est qu’il contient des grains de riz et des fleurs de lavande, reconnue pour ses propriétés relaxantes.
Coté design, vous en avez pour tout les gouts! Les sacs réconforts viennent au format loup, ours, chat, panda et maintenant LICORNE !!!
Un coup de ❤️ pour apaiser bébé et lui permettre de faire des beaux dodos malgré l’inconfort lié au coliques. En plus, le sac réconfort peut aussi s’utiliser froid pour soulager les ecchymoses, l’inflammation sur les petites éraflures.
3- Un bain relaxant et des massages pour aider à soulager les coliques !
Le bain SPÉCIAL COLIQUES associe un bain relaxant et l’enseignement d’une routine de massage du bedon de bébé. Les massages agissent par action mécanique et sont efficaces pour évacuer les gaz à l’origine des douleurs abdominales de bébé.
Les effets relaxants du bain associé au massage sont immédiats et procurent une période de répit pouvant aller de quelques heures à plusieurs jours. Il est préférable de le donner le plus tôt possible lorsque les symptômes d’inconfort, soit entre 6 et 10 semaines de vie. Une huile de massage première pression à froid vous sera offerte pour pouvoir renouveler les massages du bedon à votre bébé.
C’est très efficace selon plusieurs mamans!
Bain SPÉCIAL COLIQUES pour Lucas, 8 semaines de vie – Crédit photo : Julie St Georges Photographe
Pour plus de renseignements sur le bain SPÉCIAL COLIQUES, contactez-moi en message privé via ma page Facebook ou par téléphone au 514-969-1469.
Jocelyne Gaudy, Instructrice en massage pour bébé IAIM, Doula et Infirmière
4- L’ostéopathie pour aider à soulager les symptômes !
Les principes de l’ostéopathie sont toujours les mêmes. L’ostéopathe cherche les zones rigides, les blocages et il effectue des petites manœuvres pour détendre les tissus. En ramenant de la mobilité il améliore la vascularisation, l’innervation et donc la fonction.
Dans les cas de coliques, l’ostéopathe vérifie évidemment les intestins mais aussi les vertèbres associées. Il vérifie s’il y a des tensions au niveau du diaphragme et s’assure qu’il y a un bon équilibre entre la pression du thorax de de l’abdomen. Il travaille aussi pour équilibrer le système nerveux et amener un apaisement de celui-ci.
Pour chaque bébé. Le traitement sera différent et adapté en fonction des tensions trouvées.
Lorsque des parents viennent me consulter pour les coliques de leur bébé, je pose beaucoup de questions aux parents car en questionnant on se rend compte que ça semble être en lien avec du reflux ou à des intolérances. Les recommandations seront alors différentes.
N’hésitez pas à me contacter pour en savoir davantage.
5- L’acupuncture pour diminuer ses coliques? Bien sûr!
Pratique millénaire au cœur de la Médecine traditionnelle chinoise, l’acupuncture est une option douce et sécuritaire pour les enfants et les bébés. Les traitements sont courts et adaptés à l’âge de l’enfant.
Différents outils peuvent être utilisés lors du traitement : aiguille, laser, micro-aiguilles de type punaise, massage Tuina pédiatrique, rouleau, et plus encore! L’acupuncteur peut aussi démontrer aux parents des manœuvres qu’ils pourront répéter à la maison pour diminuer les malaises de leur bébé.
L’acupuncture agit de façon globale pour tonifier l’enfant et aider la maturation de sa capacité digestive, tout en diminuant les symptômes d’inconfort. C’est une alliée précieuse pour améliorer le bien-être des enfants, de façon douce en et sans douleur.
6- La réflexologie, une autre méthode naturelle très efficace dans le cas de colique du nourrisson!
La réflexologie est intégrée à la médecine alternative. Millénaire, connue des civilisations égyptiennes et chinoises, c’est une méthode douce qui soulage tout en apportant une profonde détente.
D’une part, la réflexologie vise à stimuler les processus d’autoguérison du corps en exerçant des pressions sur “les points réflexes” situés au niveau des pieds, des mains, des oreilles, du visage et qui sont en relation avec les différents organes et parties du corps.
D’autre part elle accroît la capacité naturelle du corps tout en identifiant et éliminant le blocage dans le flux énergétique du corps.
L’immaturité du système digestif du bébé pendant les 3 à 4 premiers mois après la naissance, peut causer des douleurs et des crampes chez le bébé ainsi que de l’inconfort non seulement pour le bébé mais également pour toute la famille. En faisant des pressions douces aux différents ‘’points de réflexes’’ en lien avec le système digestif, sur les glandes salivaires, l’œsophage, l’estomac, l’intestin grêle et le gros intestin ainsi que sur le foie et la rate, on va maximiser leur fonctionnement tout en apportant un état de relaxation profond chez le bébé.
L’intérêt avec la réflexologie c’est qu’elle est facile à pratiquer, qu’elle peut se faire n’importe où et même sur un enfant habillé.
Vous êtes fatigué(e)s, épuisé(e)s parce que bébé ne dort pas beaucoup, qu’il est inconsolable et vous vous sentez découragé(e) face à la situation ?!
Dans ces moments de fatigue et d’impatience, il est important de pouvoir compter sur une personne de confiance, conjoint(e) membre de sa famille ou autre, pour prendre la relève pendant une demi-heure voire même quelques heures. Profitez de ce moment pour vous reposer, sortir prendre une marche et vous aérer l’esprit ou jaser entre amis. Lorsque vous reviendrez chez vous, vous serez plus calme et plus serein(e) et vous pourrez de nouveau vous occuper de votre bébé et lui transmettre votre calme et votre amour.
Parfois quand la situation devient vraiment insoutenable et qu’on a personne pour prendre le relais, il arrive qu’on se sente au bord de la crise de nerfs! Si vous en arrivez au point d’avoir des pensées violentes envers votre bébé, et avant d’en arriver à un geste irréversible : déposez votre enfant dans un endroit sécuritaire, comme son lit, fermez la porte et éloignez-vous de la pièce quelques instants, sortez un instant sur la galerie, prenez une grande respiration, faites le vide dans votre tête! Vous avez besoin d’une pause! Mangez des petites choses qui vous font envie, appelez une amie, votre mère, votre conjoint, n’importe qui! Parlez-lui de la situation et de votre état de fatigue, de votre état de détresse. Demandez à cette personne de venir vous aider à la maison. Lorsque vous serez revenu à un état de calme retourner voir votre bébé.
Essayez de trouver de l’aide: gardienne, parents, médecin, CLSC, centre d’action bénévole ou contactez La ligne-parents au: 1 800 361-5085.
Ça semble parfois stupide de se le faire dire lorsqu’on est à l’hôpital après la naissance du bébé, mais croyez-moi lorsque bébé ne veut pas arrêter de pleurer et que ça dure depuis des semaines il est BON de se le rappeler :
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Ne secouez jamais un jeune enfant.
Vous pourriez causer des dommages permanents à son cerveau ou même entraîner sa mort.
Maman de 2 garçons nés en 2003 et 2011, ma vision de la naissance et de la grossesse a été complètement chamboulée par ma formation d’accompagnante à la naissance et les formations suivies par la suite.
Au quotidien j’occupe le métier d’infirmière, un travail qui me passionne et qui se conjugue très bien avec celui d’accompagnante. J’ai travaillé durant plus de 10 ans avec des bébés prématurés ; un domaine à la fois difficile et plein d’espoir, où la vie est si précieuse qu’on la maintient par des tas de fils!
En tant qu’accompagnante à la naissance, je vous aide à mieux vivre votre grossesse, votre accouchement et l’accueil de votre nouvel enfant. Je vous encourage à prendre soin de lui en vous enseignant l’art du massage pour bébé et du bain relaxant, véritable moment de détente après la naissance ou durant la période des coliques.
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